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Text/Jacques Lacan/Encore/1973.01.16

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'''<font class="font0">Encore </font>'''<div><centerBR>'''<font class="font1">Séminaire de Jacques Lacan </font>'''</center></div> <divBR><center>'''Version VRMNAGRLSOFAFBYPMB</font>'''</center></div>
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</poem>
<div class="div0"><center>  <br /></center></div>
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<div class="div0"><center>'''Mardi 16 janvier 1973</font>'''</center></div>
Qu’est-ce que je peux avoir à vous dire, encore ? Depuis le temps que ça dure, et que ça n’a pas tous les effets que j’en voudrais, et bien, justement à cause de ça, ce que j’ai à dire, ça ne manque pas. Néanmoins, comme on ne saurait tout dire, et pour cause, j’en suis réduit à cet étroit cheminement qui fait qu’à chaque instant, il faut que je me garde de reglisser dans ce qui déjà se trouve fait de ce qui s’est dit. C’est pourquoi, aujourd’hui, je vais essayer une fois de plus de maintenir ce difficile frayage puisque, de par un titre, nous avons du même coup un horizon étrange, d’être qualifié de cet </font>''Encore</font>''.
La révolution copernicienne n’est nullement révolution, si ce n’est en fonction de ceci que le centre d’une sphère peut être supposé, dans un discours qui n’est qu’ un discours analogique, constituer le point maître. Le fait de changer ce point maître, que ce soit la terre ou le soleil, n ’a rien en soi qui subvertisse ce que le signifiant centre conserve de lui-même. Ce signifiant garde tout son poids et il est tout à fait clair que loin que l’homme, ce qui se désigne de ce terme, ce qui est quoi, ce qui fait signifié, que l’homme ait jamais été en quoi que ce soit ébranlé par le fait que la terre n’est pas au centre, il y a fort bien substitué le soleil. L’important c’ est qu’il y ait un centre et puisqu’il est bien sûr maintenant évident que le soleil n’est pas non plus un centre, qu’il est en promenade à travers un espace dont le statut est de plus en plus précaire à établir, que ce qui reste bien au centre c’est tout simplement cette bonne routine qui fait que le signifié garde en fin de compte toujours le même sens, et que ce sens, il est donné par le sentiment que chacun a de faire partie de son monde tout au moins, c’est-à-dire de sa petite famille, et tout ce qui tourne autour, et que chacun, chacun de vous, je parle même pour les gauchistes, vous y êtes, plus que vous ne croyez et dans une mesure dont justement vous feriez bien de prendre l’empan, attachés à un certain nombre de préjugés qui vous font assiette et qui limitent la portée de vos insurrections, au terme le plus court, à celui très précisément où cela ne vous apporte nulle gêne, et nommément pas dans une conception du monde qui reste, elle, toujours parfaitement sphérique, le signifié trouve son centre où que vous le portiez. Ce n’est pas, jusqu’à nouvel ordre, le discours analytique si difficile à soutenir dans son décentrement, qui a fait encore son entrée dans la conscience commune, qui peut d’aucune façon subvertir quoi que ce soit. Pourtant, si on me permet de me servir quand même de cette référence dite copernicienne, j’en accentuerai ce qu’elle a d’effectif de ceci que ce n’est pas du tout d’un changement de centre qu’il s’y agit. Que ça tourne, ça continue à garder toute sa valeur, si motivé, réduit que ce soit en fin de compte à ce départ que la terre tourne, et que de ce fait il nous semble que c’est la sphère céleste qui tourne. Elle continue bel et bien à tourner et elle a toutes sortes d’effets, ce qui fait que, quand même, c’est bien par années que vous comptez votre âge.
La subversion, si elle a existé quelque part et à un moment, ça ne consiste pas du tout à avoir changé le point de virée de ce qui tourne, c’est d’avoir substitué au « ça tourne »,</font> un</font>'' « </font>« ça tombe »''ça tombe », c cédille a, ''« ça tombe»</font>''.</font>''</div>
Le point vif, comme quelques-uns, quand même, ont eu l’idée de s’en apercevoir… ça n’est ni Copernic, un peu plus Kepler, à cause du fait que ça ne tourne pas de la même façon, ça tourne en ellipse. Et déjà c’est plus énergétique que correctif à cette fonction du centre, c’est elle qui est mise en question. Ce vers quoi ça tombe est en un point de l’ellipse qui s’appelle le foyer. Et dans le point symétrique, il n’y a rien. Ceci assurément est correctif tout à fait essentiel à cette image du centre. Mais le « ça tombe » ne prend, si je puis m’exprimer ainsi, son poids, son poids de subversion, et justement en ceci que, que ce n’est pas seulement de changer le centre qui le fait révolution puisque, à conserver le centre, la révolution continue indéfiniment, et justement pour revenir toujours sur elle-même. C’est que le « ça tombe » aboutit à quoi, très exactement à ceci et rien de plus que : F = grand G facteur de mm’ sur r</font><font class="font3">2 </font>où r</font><font class="font3">2 </font>ou d</font><font class="font3">2 :</font> la distance qui sépare les deux masses exprimées par m et m’</font><font class="font3">83</font>, et que ce qui s’exprime ainsi, à savoir une force, une force en tant que tout ce qui est masse est susceptible, au regard de cette force, de prendre une certaine accélération, que c’est tout entier dans cet écrit, dans ce qui se résume à ces cinq petites lettres écrites au creux de la main, avec un chiffre en plus, comme puissance, puissance au carré de la distance et inversement proportionnel au carré de la distance. C’est là, c’est dans cet effet d’écrit, que consiste ce qu’on attribue donc indûment à Copernic, dans quelque chose qui, justement, nous arrache à la fonction comme telle, fonction imaginaire, fonction imaginaire et pourtant fondée dans le réel de la révolution. Ceci étant énoncé rappelle sans doute mais aussi bien prélude, ce qu’il importe c’est de souligner que ce qui est produit, ce qui est produit comme tel dans l’articulation de ce nouveau discours qui émerge comme étant le discours de l’analyste, le discours de l’analyse</font><font class="font3"> 84</font>, c’est ceci, c’est que le fondement, le départ est pris dans l’effet comme tel de ce qu’il en est du signifiant. Bien loin que soit admis en quelque sorte par le vécu, bien loin que soit admis, comme, du fait même que le signifiant emporte de ses effets de signifié à partir desquels s’est édifiée cette structuration dont je vous ai, tout à l’heure, énoncé en rappel combien pendant des temps, il a semblé naturel que un monde se constituât dont les corrélatifs étaient ce quelque chose au-delà qui était l’être même, l’être pris comme éternel… la théologie ! et que ce monde reste, quoi qu’il en soit, une conception, c’est bien là le mot, une vue, un regard, une prise imaginaire, un monde conçu comme étant le tout, le tout avec ce qu’il comporte, quelque ouverture qu’on lui donne, de limité, et que de ceci résulte ce quelque chose qui tout de même reste étrange, c’est à savoir que quelqu’un, un « un », une partie de ce monde est, au départ, supposé pouvoir en prendre connaissance, s’y trouve dans cet état qu’on peut appeler d’</font>''ex-sistence</font>'', car comment supporterait-il autrement de pouvoir prendre connaissance si, d’une certaine façon, il n’était pas </font>''ex-sistant</font>''. C’est bien là que de toujours s’est marquée l’oscillation, l’impasse, la vascillation qui résultait de cette cosmologie, de ce quelque chose qui consiste dans l’admission d’un monde.
Et pourtant nous savons bien que le langage se distingue de ceci que dans son effet de signifié il n’est jamais, justement, que à côté du signifiant. Que ce qu’il faut, ce à quoi il faut nous rompre c’ est à substituer à cette imposition qui est celle que le langage provoque, imposition de l’être, la prise radicale, l’admission de départ que de l’être nous n’avons rien, jamais.
Mais à l’écrire autrement que le </font>''parêtre, </font>''non pas paraître, comme on l’a dit depuis toujours, le phénomène, ce au-delà de quoi il y aurait ce quelque chose dont Dieu c’est </font>''noumen</font>''''<font class="font3"> 85</font>'', elle nous a, en effet, menés c’est-à-dire à toutes les opacifications qui se dénomment justement de l’obscurantisme. Que c’est dans le paradoxe même de tout ce qui arrive à se formuler comme effet d’écrit du langage, que c’est au point même où ces paradoxes jaillissent que l’être se présente, et ne se présente jamais que de </font>''pare-être. </font>''Il faudrait apprendre, en fin de compte, à conjuguer, </font>''à conjuger </font>''comme il se doit : </font>''je pare-suis, tu pare-es, il pare-est, nous pare-sommes </font>''et ainsi de suite.
Eh bien, tout ceci nous introduit, nous introduit à cet énoncé, qui comme vous pouvez bien l’admettre, si vous donnez l’accent que cette nouvelle orthographe avec toutes ses conséquences, toutes ces conséquences morphologiques qu’il faut savoir assumer dans cette nouvelle conjugaison que je vous propose, c’est bien à partir de là qu’il faut prendre ce qui est en jeu dans ce qui se trouve être aussi dans une relation de </font>''parêtre</font>'', d’être à côté, d’être para au regard de ce rapport sexuel dont il est clair que dans tout ce qui s’en approche, le langage ne se manifeste que de son insuffisance, c’est bien au regard de ce </font>''parêtre</font>'' que ce qui supplée à ce rapport en tant qu’inexistant, c’est bien dans ce rapport au </font>''parêtre</font>'' que nous devons articuler ce qui y supplée, c’est à savoir, précisément, l’amour.
Il est proprement fabuleux que la fonction de l’Autre, de l’Autre comme lieu de la vérité, et pour tout dire de la seule place, quoiqu’irréductible, que nous pouvons donner au terme de l’être divin, de Dieu pour l’appeler par son nom, Dieu est proprement le lieu où, si vous m’en permettez le terme, se produit le dieu, le </font>''dieur</font>'', le dire. Pour un rien, le dire ça fait Dieu… Aussi longtemps que se dira quelque chose, l’hypothèse Dieu sera là. Et c’est bien justement à essayer de dire quelque chose que se définit ce fait, qu’en somme, il ne peut y avoir de vraiment athées que les théologiens. C’est à savoir ceux qui, de Dieu, en parlent. Aucun autre moyen de l’être, sinon de cacher sa tête dans ses bras au nom de je ne sais quelle trouille, comme si jamais ce Dieu avait effectivement manifesté une présence quelconque. Par contre il est impossible de dire quoi que ce soit sans aussitôt le faire subsister, ne serait-ce que sous cette forme de l’Autre, de l’Autre, aussi dit la vérité.
C’est une chose qui est tout à fait évidente dans le moindre cheminement de cette chose que je déteste, et que je déteste pour les meilleures raisons, c’est-à-dire l’Histoire. L’Histoire étant très précisément faite pour nous donner l’idée qu’elle a un sens quelconque, alors que la première des choses que nous ayons à faire c’est de partir de ce que nous avons là en face, d’un dire qui est le dire d’un autre, qui nous raconte ses bêtises, ses embarras, ses empêchements, ses émois, et que c’est là qu’il s’agit de lire. Il s’agit de lire, il s’agit de lire quoi ? Il s’agit de lire rien d’autre que les effets de ces dires. Et ces effets, nous voyons bien tout ce en quoi ça agite, ça remue, ça tracasse les êtres parlants. Et bien sûr pour que ça aboutisse à quelque chose, il faut bien que ça serve. Et que ça serve, mon Dieu, à ce qui s’arrange, à ce qui s’accommode, à ce que boiteux-boitillant, n’est-ce-pas, ils arrivent quand même à donner une ombre de petite vie à ce sentiment dit de l’amour.
Nous l’avons dit déjà, le sourire de l’ange est le plus bête des sourires, il ne faut donc jamais s’en targuer. Mais très assurément il est clair que cette idée même, que la démonstration, si je puis dire, au tableau noir de quelque chose qui se rapporte à l’éducation sexuelle n’est certainement pas fait, du point de vue du discours de l’analyste, pour paraître plein de promesses, de bonnes rencontres ou de bonheur, comme on dit.
Il y a quand même quelque chose qui, dans mes </font>''Écrits, </font>''montre, si je puis dire, que ma bonne orientation, puisque c’est celle dont j’essaie de vous convaincre, ne date pas d’hier. C’est quand même au lendemain d’une guerre, où rien évidemment ne semblait promettre des lendemains qui chantent, que j’ai écrit quelque chose qui s’appelle « Le temps logique et l’assertion de certitude anticipée</font><font class="font3"> 88 </font>» où on peut quand même très très bien lire, si on l’écrit, pas seulement si on a de l’oreille, que la fonction de la hâte c’est la fonction de ce petit </font>'''a</font>''', petit </font>'''a </font>'''– t. Je veux dire que ce dont il s’agit qui mériterait d’être regardé de plus près ce n’est pas simplement de ceci, qui est déjà très très articulé, n’est-ce-pas, à savoir d’une petite devinette liée au fait qu’il y a pour trois personnes trois disques blancs et deux noirs, un de moins, que les choses se jouent en fait, et que dans cette extrapolation subjective qui fait que en apparence, l’instant de voir, l’instant de voir deux blancs celui qui ne sait pas qui il est et qui sait que les deux autres, en tout cas chacun, peuvent se voir tels qu’ils sont, à savoir blancs, et du même coup, si par hasard ils se pensaient noirs et que celui qui pense de départ le fut lui-même, saurait très bien, du même coup, qu’il est blanc, il y a là quelque chose dont j’ai mis seulement en valeur le fait que quelque chose comme une inter-subjectivité peut aboutir à une issue salutaire, mais qui mériterait assurément d’être regardée de plus près, très précisément au niveau de ce que supporte chacun des sujets non pas d’être un entre autres, mais d’être par rapport aux deux autres celui qui est l’enjeu de leur pensée, à savoir très précisément chacun n’intervient dans ce ternaire qu’au titre justement de cet objet petit </font>'''a</font>''' qu’il est sous le regard des autres. C’est ce que sans doute j’aurai l’occasion d’accentuer dans ce que j’avancerai plus tard.
En d’autres termes ils sont trois, mais en réalité ils sont deux plus </font>'''a</font>''', et c’est bien en ceci que ce deux plus </font>'''a</font>''', au point du </font>'''a</font>''', se réduit non pas aux deux autres mais à un « un » plus petit </font>'''a</font>'''. Vous savez que là-dessus j’ai déjà usé de ces fonctions pour essayer de vous représenter l’inadéquat du rapport de l’«un » à l’autre, ce que j’ai déjà fait en donnant à ce petit </font>'''a</font>''' pour support le nombre irrationnel qu’est le nombre dit nombre d’or.</font> C’est en tant que du petit </font>'''a</font>''' les deux autres sont pris comme « un » plus petit </font>'''a</font>''' que fonctionne ce quelque chose qui peut aboutir à une sortie dans la hâte. Cette fonction d’identification, qui se produit dans une articulation ternaire, est celle qui se fonde de ceci que en aucun cas ne peuvent se tenir pour support deux comme tels, que entre deux, quels qu’ils soient, il y a toujours l’«un » et l’autre, le « un » et le petit </font>'''a</font>''', et que l’autre ne saurait dans aucun cas être pris pour un « un»</font><font class="font3">89</font>. C’est très précisément en ceci que dans l’écrit, quelque chose, quelque chose se joue qui, à partir de ceci de brutal, prend pour « un » tous les « un » qu’on voudra, que les impasses qui s’en révèlent sont par elles-mêmes pour nous un accès possible à cet être, une réduction possible de la fonction de cet être dans l’amour.
C’est en ceci, en ceci que je veux terminer sur ce terme par où se différencie le signe du signifiant. Le signifiant, ai-je dit, se caractérise de ceci de représenter un sujet pour un autre signifiant. De quoi s ’agit-il dans le signe ? Depuis toujours la théorie cosmique de la connaissance, la conception du monde fait état de l’exemple fameux de la fumée qu’il n’y a pas sans feu. Et pourquoi ici n’avancerais-je pas ce qu’il me semble. C’est que la fumée peut être aussi bien le signe du fumeur, et non seulement aussi bien le signe du fumeur, mais qu’elle l’est toujours par essence, qu’il n’y a de fumée que de signe du fumeur. Et chacun sait que si vous voyez une fumée au moment où vous abordez une île déserte, vous vous dites tout de suite qu’il y a toutes les chances qu’il y ait là quelqu’un qui sache faire du feu, et jusqu’à nouvel ordre, ce sera un autre homme. Ce signe, ce signe en tant que le signe n’est pas le signe de quelque chose, mais est le signe d’un effet qui est ce qui se suppose en tant que tel d ’un fonctionnement du signifiant, qui est ce que Freud nous apprend et ce qui est le départ, départ comme tel du discours analytique, à savoir que le sujet ce n’est rien d’autre, qu’il ait ou non conscience de quel signifiant il est l’effet, ce n’est rien d’autre comme tel que ce qui glisse dans une chaîne de signifiants. Ce n’est rien d’autre que cet effet qui est l’effet intermédiaire, intermédiaire entre ce qui caractérise un signifiant et un autre signifiant, c’est d’être chacun « un », d’être chacun un élément. Nous ne connaissons rien, nous ne connaissons pas d’autre en somme support par où soit introduit dans le monde le « un », si ce n’est le signifiant en tant que tel, et en tant que nous apprenons à le séparer de ses effets de signifié.
Ce qui donc dans l’amour est visé, est visé c’est le sujet, le sujet comme tel, en tant qu’il est supposé, à une phrase articulé, à quelque chose qui s’ordonne, peut s’ordonner d’une vie entière, mais ce que nous visons dans l’amour, c’est un sujet et ce n’est rien d’autre. Un sujet comme tel n’a pas grand chose à faire avec la jouissance, mais par contre, dans la mesure où son signe, son signe est quelque chose qui est susceptible de provoquer le désir, là est le ressort de l’amour, et par là le cheminement que nous essaierons de continuer dans les fois proches pour vous montrer où se rejoint l’amour et la jouissance sexuelle.
'''Notes</font>'''
<font class="font4">79 Nous supposons que le précédent dire à la formulation « la jouissance de l’Autre, du corps de l’autre qui Le symbolise n’est pas le signe de l’amour », est qu’ « il n’y a pas de rapport sexuel ».
</poem>
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'''<font class="font0">Revista de Psicoanálisis y Cultura </font>'''<div><centerBR>'''<font class="font1">Número 13 - Julio 2001 </font>'''</center></div> <divBR><center>'''<font class="font1">www.acheronta.org</font>'''</center></div>
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